Longtemps j’ai pensé être le seul à renâcler à m’engager dans la lecture des livres énormes. J’entends par livres énormes, ces romans qui dépassent les quatre cents pages, car pour moi, trois-cent-quatre-vingt pages doivent suffire pour raconter une histoire. Au-delà, on tombe dans une lecture le plus souvent ennuyeuse, ce que le bon sens populaire appelle un pavé. Il est vrai que je n’ai pas toujours raisonné ainsi. Plus jeune, je n’y voyais aucun inconvénient, je dirais même plus, j’y voyais comme une sorte de satisfaction intellectuelle, je faisais partie de cette élite (Heu ?)...

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