14/10/2012
Pierre Jourde : Paradis noirs
Une silhouette à peine aperçue sur un quai de gare et la mémoire s’éveille. Les années de collèges dans un pensionnat religieux, les camarades de jeunesse Boris et François et ces souvenirs qu’on pensait oubliés o enfouis pour toujours au plus profond afin de ne jamais les voir ressurgir remontent lentement pour rappeler au narrateur ces vilénies qu’il ne veut plus connaître. La silhouette est-elle celle de François qu’on dit mort ? D’ailleurs qui était ce François maintenant qu’il y songe et qu’est-il devenu quand les camarades se sont séparés après que soit survenu un évènement...